La première édition des MetaDays s’est tenu les 29 & 30 novembre 2022 au Centre des congrès Rive Montparnasse. Pendant deux jours, les acteurs et les partenaires clés du marché ont pu se rencontrer, échanger et débattre sur les perspectives, les opportunités et les innovations en cours au sein du Métavers.

Wavestone met en lumière les messages clés de cette édition, que nous vous invitons à découvrir en téléchargeant notre publication.

Le premier évènement B2B sur le Métavers

Au cours de ces deux jours, les experts et décideurs présents ont pu défricher le sujet du Métavers et découvrir les différentes opportunités et enjeux B2B qu’offre ce marché.

+750

participants

+45

conférences et tables rondes

+80

intervenants

L’accent a été mis sur la recherche d’une définition commune du Métavers, l’identification et l’implémentation de ces cas d’usages ainsi que le choix de stratégies à adopter pour se lancer à la conquête de ce nouveau marché tout en respectant des aspects éthiques, juridiques et sociétaux.

Indéniablement il semble que c’est par l’usage qu’une définition commune du Métavers émergera. Pierre PAPERON, CEO FRANCE META & EXPLOIT. DIGITAL compare le métavers à un couteau suisse digital. « Il faut attendre le Metaverse-as-a-service où chacun pourra inclure ses cas d’usage. ».

D’après un benchmark réalisé par les équipes de Christophe COUSIN, Chief Web3 Officer chez Lucy & Associés, il existe 250 business cases pour lesquels le Métavers représente une utilité dont 66% servent à générer des revenus et 33% à créer des mécaniques qui génèrent du trafic en point de vente.

Arnaud PELLETIER, Directeur de l’Innovation chez IBM Consulting & Associate Partner, s’assure que chaque projet Métavers réponde à 3 questions fondamentales : « Make it purposeful : quel est l’utilité du projet Métavers que l’on va créer ? ; Make it valuable : qu’est-ce que l’entreprise va en tirer ? et Make it real : quels sont les prérequis technologiques nécessaires à son implémentation ? ».

Aurore GÉRAUD, R&D Researcher – BNP PARIBAS, souligne le fait que « les enjeux de modération sont identiques à ceux des réseaux sociaux actuels ».

Merci à Daniel Verschaere, Da-Nhat Nguyen, Alec Sabourdy, Alexandre Brethes, Camille Dauve, Lauryne Caroff, Jean-Pierre Liney Linkoko, Wilfried Saint-Charles, Aleksei Strelnitckii.